LA VIE EST PASSION
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LA VIE EST PASSION
LA VIE EST PASSION
Regarde mon aimé le ciel est tout en flamme,
Le couchant s'incendie et son immensité
Nous fait toucher du cœur combien est belle l'âme
De la nature offrant ce don d'éternité.
Vois le ciel se clouter d'étoiles vagabondes,
Dans la ronde des nuits, voyageant dans ces mondes
Où l'on croit, tout enfant, par désir prodigieux,
Que l’Éden est là-haut dans la trace lactée
Où broute pour toujours la chèvre d’Amalthée,
Depuis que l'on m'apprit le mystère des cieux.
Je n'avais que six ans, mais mon esprit mâture,
Voulait tout découvrir, et j'usais chaque jour
Avec mémé Fine à courir l'aventure,
Pour me remplir le cœur si débordant d'amour.
Mémé m'enseignait tout, avec cette puissance
Qu'ont seuls les êtres vrais croisant notre existence,
Et vous laissent depuis l'inébranlable foi
Qu'il faut savoir chercher, jusqu'à ce qu'on expire,
La beauté en chacun dans l'éclat d'un sourire,
Quand le mot pardonner jaillit au fond de soi.
Le fleuve de la vie aborde des rivages,
Où les flots dangereux sont parfois écumants ;
Le ciel gris quelquefois s'engrosse de nuages
Cachant la profondeur du lointain firmament
Quand à chaque seconde en nous des phrases naissent
Nous recherchons les mots qui souvent disparaissent
Et leurrent notre esprit le privant d'action
Alors nous subissons l'angoisse des tempêtes,
Qui agitaient nos vies en érigeant des crêtes
Où se blessent nos coeurs vivant la passion.
Regarde mon aimé le ciel est tout en flamme,
Le couchant s'incendie et son immensité
Nous fait toucher du cœur combien est belle l'âme
De la nature offrant ce don d'éternité.
Vois le ciel se clouter d'étoiles vagabondes,
Dans la ronde des nuits, voyageant dans ces mondes
Où l'on croit, tout enfant, par désir prodigieux,
Que l’Éden est là-haut dans la trace lactée
Où broute pour toujours la chèvre d’Amalthée,
Depuis que l'on m'apprit le mystère des cieux.
Je n'avais que six ans, mais mon esprit mâture,
Voulait tout découvrir, et j'usais chaque jour
Avec mémé Fine à courir l'aventure,
Pour me remplir le cœur si débordant d'amour.
Mémé m'enseignait tout, avec cette puissance
Qu'ont seuls les êtres vrais croisant notre existence,
Et vous laissent depuis l'inébranlable foi
Qu'il faut savoir chercher, jusqu'à ce qu'on expire,
La beauté en chacun dans l'éclat d'un sourire,
Quand le mot pardonner jaillit au fond de soi.
Le fleuve de la vie aborde des rivages,
Où les flots dangereux sont parfois écumants ;
Le ciel gris quelquefois s'engrosse de nuages
Cachant la profondeur du lointain firmament
Quand à chaque seconde en nous des phrases naissent
Nous recherchons les mots qui souvent disparaissent
Et leurrent notre esprit le privant d'action
Alors nous subissons l'angoisse des tempêtes,
Qui agitaient nos vies en érigeant des crêtes
Où se blessent nos coeurs vivant la passion.
Admin- Admin
- Age : 84
Localisation : Mulhouse
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